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La Révolte des femmes
4 février 2019

II Mythes et réalités de #metoo

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1. Types d'agresseurs 
D'après notre tableau , nous constatons que contrairement au mythe qui affirme que les agresseurs sont presque tout le temps des inconnus , le plus souvent les agresseurs font partie de notre propre famille comme : le père , le frère , le petit copain , des amis de la famille etc... .Mais ça peut être aussi des personne que nous voyons régulièrement mais autres que la famille comme un/e ami/e , un prêtre ou un/e professeur. Ce qui révèle un certain rejet des fautes de la part des familles ou alors un certain malaise. Pour certain individu il est inconcevable qu'un membre même de la famille puisse être aussi cruel . C'est pourquoi quand les victimes viennent l'avouer à leurs famille ils peuvent être rejeté.
2. Types de victimes 
 Toujours dans la tête des gens , les victimes ont entre 25 et 45 ans mais d'après nos statistiques les victime sont en général âgée de 2 a 17 ans ce cliché vient surement du fait que personne ne peut s'imaginer qu'un monstre près à agresser un pauvre enfant puisse exister . Et j'ai trouvé une explication toute simple c'est que agresser une personne sous notre autorité ne pourra pas se plaindre un peu comme un oncle et sa nièce . Mais ce monstre existe bel et biens et fait souvent parti de nos proche , mais comment se résilier à l'accepter ? 
 3. Types de lieux
 Même si le mythe veut que se soit une femme qui ce fasse agresser en pleine nuit dehors et par un inconnu , avec comme seule excuse "elle étais habiller comme une ####" la réalité est que l'agression vient souvent d'un proche et la plupart du temps en pleine journée dans la maison familiale ou dans le lieu de professionnelle.
 4. Pression familiale et sociale 
Après tout les mythes brisé et la victime traumatiser qui trouve enfin le courage de l'avouer  à sa propre famille , il se passe souvent une sorte de "rejet" de la famille qui veut étouffer l'affaire pour surment conserver l'honneur de la famille , par peur que l'affaire s’ébruite et choque les proches et le voisinage ou alors encore la famille ne croit même pas la victime ce qui est voulu ou non . Ce qui est souvent liée aux mythes/préjugés inscrit dans le cerveau des individus se n'est que l’invention de la victime. Ce qui fait que la victime est sans cèsse confronté à son agresseur (si celui ci ce trouve être dans la famille/proche se qui est souvent le cas) qui peut en profiter pour récidiver . Mais quand se n'est pas la famille qui fait pression sur la victime c'est la population. Surtout pour des victimes de sexe masculin. Un homme est dans l'imagination de chacun représenté comme , grand ; musclé , viril et c'est surtout lui l'agresseur et jamais personne ne pourrait penser qu'un homme puisse être la victime . Ces nombreux fait son souvent les acteurs qui pousse la victime à garder le silence et à ce morfondre sur le drame qui vient de lui est arriver. 

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5. La socialisation primaire à tel un impact 

 

La socialisation primaire est sans doute la plus importante dans une vie et elle dépend de nos proches ainsi que de se qu’on voit et apprend . Dès le début de notre vie , fille et garçon sont différencié sans même à en avoir à discuter avec l’enfant les dessin animé disney sont la preuve la plus voyante mais la moins critiqué que l’on puisse trouver .

Dans nos déssins animés on trouve toujours les même rôle , une princesse en détresse qui risque ca vie et qui attend sagement et silencieusement l’arrivé de son prince héroique qui combat pirate , monstre , vent et marais pour delivrer ca princesse . Ce qui à une crée une réel différenciations dite de genre , entre les petite filles et les petit garçons dans un jeux de rôle avec des déguissement comme l’explique très bien le journal Le Figaro « http://sante.lefigaro.fr/article/comment-disney-et-ses-princesses-faconnent-les-petites-filles/ » Dans ce genre de dessins animés on assite également a des « agression » comme dans blanche neige , surment le conte le plus connu , qui en mangeant une pomme meurt , cependant dans son « sommeil éternelle » le prince en profite pour l’embrasser contre sans son ce qui miraculeusement la réveille. Inconsiemment le message passé est qu’il n’y a pas besoin de l’accord d’une femme pour la toucher ou l’embrasser car c’est forcement pour son biens quoi qu'elle en dise .Après tout dans les disney on constate que les princesses parlent 20% de moins (étude faite par Le Figaro) que les prince ou autre personnages masculins donc à quoi bon lui demander son avis.

Ces dessins animés quoi qu’il soit d’apparence innocent ont un impact malheureux sur la pensée et l’identiter que se crée l’enfant comme l’explique Le Figaro dans leur article « comment disney et ses princesses faconnent les petite filles »  avec cette phrase « Avec cela, elles montraient qu’en tant que princesses, elles doivent se tenir d’une certaine manière et pas d’une autre ; mais aussi que les garçons sont totalement différents des filles et qu’ils ne peuvent pas prendre part aux mêmes activités. » 

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